Where are you? => In Nobody Land

Vous ne trouverez en ce lieu que délires et idées sensées, à vous de faire le tri.
Croire que vous sortirez d’ici enrichis n’est pas une erreur hors matériellement parlant
Vous êtes dans un morceau d’éternité dédié à ce que nous sommes
: RIEN

Ici veut se reposer the Men at Work

Vous qui passez pour me voir
Ou
Peut être me dire bonsoir
Ou
Bonjour même le soir

Je me ferai un devoir
A
Répondre sans sursoir
A
Votre quête du Savoir

Qui suis-je?.........................................Moi
D'où vient le vent?.............................Ca dépend
Qui a-t-il après l'infini?.....................Rien
Qui a-t-il eu avant le Big Bang?.......Nous

dimanche 26 juin 2016

L’art de la confusion

Nous sommes dans une société dirigée par des illusionnistes.

Nous n’avons (le plus souvent) du monde que l’image véhiculée par les médias et qui représente Leur interprétation de faits ou de dires, eux-mêmes causés par d’obscures motifs souvent personnels que l’on souhaite voir repris par des populations à qui on a appris plus à écouter (sans chercher à comprendre) qu’à réfléchir.

Dans ce théâtre à ciel ouvert, l’art de la rhétorique est devenu une arme de guerre pouvant causer plus de dégâts qu’une bombe. Un peu comme le Putaing, con qui sentent bon la Méditerranée, la bombe ou la fusillade ne seront que la ponctuation d’un discours et un moyen de capter à nouveau l’attention.

Attention à tous les discours qui se disent basés sur l’histoire. Rappelons-nous toujours qu’un fait historique n’a de sens que dans son contexte et que son extrapolation pour servir d’exemple en d’autres lieux et temps ne devient qu’un emballage destiné à cacher le contenu.

Préférons toujours un discours simple, comme celui de Pierre Rabhi, s’adressant à nous et nous concernant pour chercher à résoudre nos problèmes ou pour mettre en lumière nos possibilités de vie plutôt qu’un discours alambiqué sous forme de rhétorique n’ayant de sens et de nécessité que pour celui ou celle qui le prononce avec des buts purement personnels (là je ne donne pas d’exemple car ce serait trop long).

Pour ma part, si j’aime entretenir parfois la confusion c’est plutôt pour amener des questions permettant de lancer des discussions et donc d’humaniser des relations qui ne doivent pas en rester à : Moi écrire, Toi lire, Point

Si la politique attire de moins en moins les jeunes (et les moins jeunes) c’est que son discours tourne en rond et n’a plus rien de constructif. Vouloir suivre une campagne électorale donne l’impression d’être plongé dans le film « Un jour sans fin » tant les visages et les propos sont les mêmes sous des accents empruntés à la rue afin de faire « à l’écoute ».

De tout ce fatras émerge des populismes qui avec un discours simple, voire simpliste, savent faire oublier à la population de réfléchir au fait que s’ils ont la liberté de choisir cette voie c’est parce qu’elle n’est pas au pouvoir comme pensée unique.

Rappelez-vous bien cette dernière phrase quand ce que vous entendrez correspondra trop à ce que vous souhaitez entendre et prêtez alors attention aux regards, petits mots, et autres mimiques de celles et ceux qui les prononcent ; cela est souvent plus éloquent qu’un long discours.

Et surtout, INFORMEZ-VOUS par divers canaux.

Il y a toujours à apprendre, même d’idées opposées aux nôtres car le conservatisme créé l’immobiliste qui ne peut qu’entrainer la chute.
Pensée du jour : Quand quelqu’un te parle en te regardant droit dans les yeux, pense à observer également ses mains.